NAHO Club - La Garde

Bonardi A.

Je n’ai jamais été déçu de quoi que ce soit lorsque je me rends au NAHO CLUB, un accueil parfait, un service sans faille et une ambiance de dingue !

Un endroit chaleureux où l’on se sent en sécurité pour passer des soirées exceptionnelles, le personnel est toujours aimable et souriant.

De plus, bien sûr, la musique est parfaitement maîtrisée par les DJ !

Je ne comprends pas les commentaires négatifs à propos des videurs.
Certes je suis un "habitué" des lieux, cependant lors de mes premières sorties je n’ai jamais eu de soucis à l’entrée.
Politesse, respect et tenues présentables sont les éléments qui vous permettront d’être accepté dans ce club.
Si vous êtes "recalé", c’est pour une bonne raison !

Bref, merci le NAHO CLUB !
A bientôt 🤟🏻

Amanda C.

Depuis l’arrivée de Lino le nouveau directeur, ( qui vous accueille en personne et avec le sourire), le staff ( serveurs, videurs, etc… ) est beaucoup plus agréable qu’avant ! Une boîte chic et classe où on vous traite avec respect ! Gros + pour le parking réservé aux femmes venant sans hommes ! Seul petit point négatif, les diluants supplémentaires vendus 10 euros… Quand on prend des bouteilles à 180 et 350 euros on s’attend quand même à avoir assez de diluant, c’est dommage d’en vendre et surtout à un prix si excessif…😣 C’est un 9 sur 10 ! Merci l’équipe du Naho 🫶🏻

SECHAUD M.

Super expérience,
Les portiers sont vraiment là pour notre sécurité.
Si tu as compris les règles à respecter tu rentres. Si c’est pas le cas tu reviens avec respects !
Merci à vous les gars, super soirée !

Ryco P.

Je venais au Naho pour me sentir un peu vivant, pour oublier, pour trouver une raison de sourire, même brièvement. La soirée touchait à sa fin, et comme toujours, il fallait partir.

J’ai croisé le regard du videur en sortant. J’ai attendu, peut-être inconsciemment, un simple mot, un “bonne soirée”, un signe, n’importe quoi. Mais il n’a rien dit. Pas un regard, pas un au revoir. Juste l’indifférence.

Et c’est là que j’ai compris. Je n’étais qu’un passant de plus, un visage sans importance. Invisible. Comme toujours.

Ky

Je venais au Naho avec l’espoir, peut-être naïf, de retrouver un semblant de plaisir, une raison de me sentir vivant, ne serait-ce qu’un instant. L’idée était simple : me perdre dans la musique, oublier les poids invisibles qui m’écrasent chaque jour, me laisser porter par les basses, les lumières, les corps en mouvement. J’y ai cru, sincèrement. Mais je n’avais pas prévu ça.

Dès les premières minutes, quelque chose sonnait faux. La musique était là, les gens semblaient s’amuser, mais il y avait cette dissonance, ce malaise grandissant, comme une fissure qui s’élargissait en moi. Puis est venu le premier changement de morceau. Brutal. Maladroit. Comme un coup porté en plein ventre. J’ai essayé d’ignorer. Après tout, une erreur, ça arrive. Mais ce n’était que le début.

Chaque transition était une agression. Un enchaînement incohérent, coupant net toute montée, toute émotion. Pas de fluidité, pas d’élan, juste des brisures, des chutes, des ruptures violentes qui me renvoyaient à mes propres déchirures intérieures. J’ai senti quelque chose lâcher en moi. Je voulais danser, je voulais m’évader, mais à chaque transition, c’était comme si on me tirait en arrière, me forçant à faire face à ce vide que je tentais d’oublier.

Je suis resté là, au milieu de la foule, à regarder ces gens qui continuaient à bouger, insouciants, comme si rien n’était anormal. Mais moi, je ne pouvais plus. J’ai senti le poids de l’absurde, l’écrasante réalité que même ici, même dans ce lieu censé être une parenthèse, une bulle de vie, je ne trouvais que du chaos. Un chaos mal agencé, bruyant, qui ne laissait aucune place à l’émotion, juste une cacophonie stérile.

Et c’est là que l’idée m’a traversé l’esprit. Une pensée sourde, insidieuse, qui s’est glissée en moi avec une évidence glaçante : si même la musique ne pouvait plus m’apporter de répit, alors quoi ? Si même ce qui me faisait tenir autrefois devenait une souffrance, alors pourquoi continuer ?

J’étais venu chercher un souffle, j’en suis reparti avec l’envie d’en finir. 14 février 03:16

Réhanne M.

Les basses sont tellement fortes qu’on entend même plus les paroles de la musique et ça toute la soirée. Je n’ai jamais vu des verres aussi fins et petits (vous voyez le diamètre d’un rouleau de PQ?) dans une boîte de nuit, c’est du vol clairement. Ne parlons même pas du fait de se faire relooker de la tête au pieds avant d’entrer ! Bref première et dernière fois

Ilona G.

Des videur frère tu sais même pas si y sont de quelle coter, 2 aller à retour pour « des chaussure qui n’allait pas (des bottes) » pour finalement ne pas nous laisser rentrer pour une autre raison inventé de nouveau, jamais je remets les pieds la bas des go archi fraîche en plus bref des clochard la bas

ronan. C.

Toujours le même videur qui pose problème comme d’habitude, à chaque fois que je viens c’est toujours non je ne comprends pas pourquoi je n’ai pourtant jamais rien fait même pas un bonsoir rien
Toujours le meme petit maghrébin ils se prend pour un dure à cuire alors qu’il est videur de boîte de nuits et gagne 1200€ ( ce que je pose en une soirée…) il cherche même pas à comprendre il dit directement non!!! alors que touts les autres videurs sont correct .
Très dommage vous perdez de la clientèle a force merci de traiter correctement vos clients fidèles est habituelles. Je termine tard le travail donc forcément je ne peux pas venir à 00h00 donc si les entrées après 1h sont interdit car sois disant c’est pas possible merci de le faire savoir ou de mettre une pancartes car déjà 3 refus je viens de loins je vais finir par vous envoyer la facture de carburant !!!
cordialement.